5.

'Du père déchu,

Je peux d'abord parler ;

De la mère bien-aimée,

Je dois pleurer la perte.

La mémoire a triste réserve,

Pour l'habileté du ménestrel,

Un bois pour fleurir de feuilles,

Avec des mots de chanson.

6.

'Le plus désolant est la brèche,

Où la vague s'est introduite,

Dans l'enclos défendu,

Du clan de mon père.

Non comblée, comme je le sais,

Et ouverte se tient,

La lacune du fils ravagée,

Par la vague avide.

7.

'Me voilà, Ran, la reine de la mer,

Qui m'a brusquement secoué :

Je me tiens dépouillé,

De mes proches et totalement nue.

La vague a coupé,

Le lien de ma parenté,

Un lien de ma propre création,

Si robuste et fort.