8. Assurément, si une épée pouvait se venger D'un si cruel tort, De mauvais temps attendraient le dieu de l'océan, Ce frère du géant du vent. Si j'étais assez fort pour le tuer, Contre lui et sa progéniture marine Je partirais au combat. 9. Mais je ne peux en aucun cas, Je pense, Me venter d'une force Qui pourrait rivaliser avec le Fléau des navires robustes. Car il est maintenant évident Aux yeux de tous Que le sort de ce vieil homme Est dénué d'aide et solitaire. 10. La mer m'a privé De beaucoup. Le récit est dur, Les morts de ma parenté : Depuis qu'il, le refuge Et le bouclier de ma demeure S'est hâté loin de la vie Vers les joyeux royaumes célestes.