20. Je me souviens encore, Quand l'Ami des hommes, S'élevait haut, Vers la demeure des dieux, Ce robuste rejeton Tige de son père, Engendré par ma vraie femme, Un rameau si beau. 21. Jadis j'étais bienveillant, Envers le grand seigneur des lances, Je le croyais fidèle et véritable, Un ami de confiance; Avant que le donneur de conquête, Le dieu charioteur, Ne rupture foi et amitié, Faux dans mon besoin. 22. Maintenant, victime et adoration, Pour le frère de Vilir, Le dieu autrefois honoré, Je n'offre plus. Pourtant, l'ami de Mimir M'a accordé, Un certain réconfort pour le chagrin, Si je raconte toutes les faveurs.